Ahmadinejad dans la Bible
C'est pas le grand roi Cyrius !
Je me suis finalement résolu à traiter le cas d’Ahmadinejad, ce triste sire qui cristallise et suinte tant de haine. J’avais une sensation à priori, c’est que je ne trouverai pas grand chose à propos de ce Monsieur, et dans un sens, je ne me suis pas trompé.
Je me suis finalement résolu à traiter le cas d’Ahmadinejad, ce triste sire qui cristallise et suinte tant de haine. J’avais une sensation à priori, c’est que je ne trouverai pas grand chose à propos de ce Monsieur, et dans un sens, je ne me suis pas trompé.
Nouvelle réconfortante, je l’ai trouvé dans la Torah, écartelé entre Ezekiel 17:3 et Daniel 10 :3 ; autrement dit dans une matrice dont chaque ligne comporte 43732 lettres ; ce qui n’a pas grande signification en soi, si ce n’est que son nom s’étale sur un grand nombre de Livres et qu’il serait introuvable en l’absence de l’outil informatique.
L’ayant déniché, j’ai injecté tous les mots qui viennent spontanément à l’esprit, le concernant. Je vous les livre dans le désordre : atome, bombe, Shoah, Destruction, chimie, Etats-Unis, Amérique, enfer, Islam, Syrie, Chiites, sunnites, Scud, Assad, Georges Bush et j’en oublie. Je n’ai absolument rien trouvé. Aucune référence à ce qui agite les média concernant ce dangereux personnage ; je n’ai d’ailleurs pas trouvé non plus le mot danger ou dangereux. J’ai par contre trouvé le mot SIN’A qui signifie haine.
A ce stade on pourrait dire qu’Ahmadinejad est un personnage peu dangereux, malgré ce qu’on veut bien nous faire croire, qui se contente de distiller de la haine à tour de bras.
Par contre, j’ai découvert dans sa matrice des choses assez étonnantes qui, à priori ne n’ont pas de rapport avec lui.
J’ai trouvé à sa droite le mot Liban LEVANON , Liban, et le mot Jordanie ou plutôt le Jourdain. En effet, à gauche d’Ahmadinejad, le mot Jourdain figure dans une phrase qui dit "sur la rive du Jourdain", AL SFAT HAYARDEN. Pratiquement accolé à Jourdain on aperçoit le mot Fatah, cette sympathique organisation terroriste dirigée jusqu’à nouvel ordre par Abu Mazen, qui se donne tant de mal pour paraitre convenable.
J’ai trouvé à sa droite le mot Liban LEVANON , Liban, et le mot Jordanie ou plutôt le Jourdain. En effet, à gauche d’Ahmadinejad, le mot Jourdain figure dans une phrase qui dit "sur la rive du Jourdain", AL SFAT HAYARDEN. Pratiquement accolé à Jourdain on aperçoit le mot Fatah, cette sympathique organisation terroriste dirigée jusqu’à nouvel ordre par Abu Mazen, qui se donne tant de mal pour paraitre convenable.
Quand on sait que le Fatah n’a plus aucune assise à Gaza, on n’est pas vraiment surpris de le retrouver en Cisjordanie. Si ce n’est que le roi de Jordanie aurait quelques soucis à se faire; le Fatah campant sur le bord du fleuve qui constitue la frontière de son pays. (Voir mon article précédent qui avance que la Palestine est en fait la Jordanie).
Dans la ligne en dessous on trouve le mot guerre, MILKHAMA, guerre. Avec qui, contre qui ? Quand on tente de lire la phrase dans laquelle figure le mot "guerre", on trouve des choses, à priori bizarres et hors contexte. Le texte parle d’hommes de guerre, de vent chaud, le SHARAV, et tout cela se passerait la nuit. J’invite les hébraïsants à déchiffrer cette phrase et me faire savoir le Livre dans lequel figure ce texte. Il est intéressant de noter que le mot SHARAV intègre le mot ARAVI, soit arabe.
Il s’agirait donc d’une guerre qui aurait lieu la nuit, à une période chaude de l’année où souffle le Sharav ou le Khamsin, sur les rives du Jourdain, qui concernerait les Arabes en général et le Fatah en particulier. Partant d’Ahmadinejad, à l’est, on aboutit beaucoup plus à l’ouest, sur les rives du Jourdain. Le mot Israël, est situé à droite, assez loin d’Ahmadinejad, et de toutes ces tribulations transjordaniennes qui ne semblent pas le concerner outre mesure. A noter toutefois que Le Hamas apparait encore plus à droite, non loin d’Israël. Le centre de gravité, encore une fois se déplace de Babel à Sion. Le pauvre Liban, seul pays qui apparait dans la matrice, semble encore une fois bien seul.
Ce qui est encore plus intéressant est le sens des Textes dans lesquels figurent la première lettre et la dernière lettre d’Ahmadinejad. La lettre Alef, par laquelle commence son nom, figure dans Daniel 10 :3. On y parle de Cyrius, roi de Perse et d’une révélation faite à Daniel sur le bord du Tigre (le fleuve, pas l’animal). Je ne vous raconterai pas toute l’histoire ; disons simplement que Daniel rencontre un personnage mystérieux, et qu’il est le seul parmi ses compagnons à le voir et à pouvoir l’identifier. Imaginez qui pourrait être ce personnage ou reportez vous au Livre de Daniel
La dernière lettre d’Ahmadinejad, Daled ou D, figure dans Ezekiel, en un passage curieux, où l’on y parle de deux immenses aigles, l’un bon, l’autre méchant, de vignes et du roi de Babel qui exile les habitants de Judée en Babylone, en y laissant un roi croupion. Là encore je vous invite à regarder le Texte.
Dans les deux cas, il est question de Babel, lire Iran, de visions prophétiques et messianiques, d’un roi puissant, Cyrius, à qui je ne ferai pas l’injure de le comparer à Ahmadinejad, de deux immenses avions, pardon, aigles. Avouez que tout cela est bien étrange et ne rejoint pas l’hystérie collective qui entoure Ahmadinejad.
Par contre cela nous renvoie, d’une part, trois mille ans en arrière, à l’exil de Babel, et d’autre part à une guerre qui pourrait avoir lieu sur les rives du Jourdain, plutôt la nuit et plutôt à une période chaude où souffle le Sharav .
Par contre cela nous renvoie, d’une part, trois mille ans en arrière, à l’exil de Babel, et d’autre part à une guerre qui pourrait avoir lieu sur les rives du Jourdain, plutôt la nuit et plutôt à une période chaude où souffle le Sharav .