Faire plier les médias qui sèment la désinformation et la haine.
Lundi 14h30, j'écoute vaguement France Info. La journaliste qui présente le journal glisse, comme en passant : "Il y a 900 morts à Gaza, dont plus de 50 % sont des enfants", et passe tranquillement à la suite. Je suis tellement estomaqué par ce mensonge, si grave de conséquences, que je ne réagis pas tout de suite. Je ne sais combien d'auditeurs ont entendu, comme moi, une journaliste certainement bien informée, puisqu'elle sévit sur cette radio prestigieuse, que la cible prioritaire de Tsahal sont les enfants. Je me dis qu'il ne faut pas laisser passer ça.
J'appelle le 3230 qui correspond au service des relations auditeurs de France Info à 0,34 Euros TTC la minute (c'est pas trop cher) et finalement obtiens à parler avec une dame un peu lasse.
Je me présente et lui dis faire partie du CRIF, ce qui n'est qu'un demi mensonge et lui demande de faire savoir à la Rédaction que nous exigeons une rectification immédiate de cette information, faute de quoi, nous allons traîner France Info en justice, et on va voir ce qu'on va voir... La dame, d'un ton toujours aussi las, me promet de faire suivre, sans plus de commentaires.
Le temps passe, je me branche sur France info pour écouter le journal de 15h30. Et voilà, qu'à ma grande surprise, j'entends la même journaliste dire: "Il y a 900 morts à Gaza et plus de 4000 blessés". Le pourcentage scandaleux est remplacé par un chiffre absolu qui devrait correspondre à la vérité. Ouf !
Je n'ai pas la certitude que c'est grâce à mon intervention que la journaliste a modifié son texte, mais à la limite peu importe, cette contre vérité scandaleuse qui nourrit la haine contre Israël et les juifs a disparu des ondes.
Jusqu'à la prochaine fois, car il y aura une prochaine fois; les journalistes sont désinformés, comme toute la population française, ou plutôt vont chercher leurs informations dans les poubelles islamistes qui ne craignent pas d'ennoncer les mensonges les plus éhontés. Le croisement des informations avec les sources israéliennes, ils ne connaissent pas. La déontologie journalistique a presque totalement disparu. Volonté de nuire ? Pas forcément. C'est comme ça, c'est le politiquement correct aujourd'hui en France.