Barak et les "codes de la Torah

Publié le par Arié



Ehoud Barak, l'éclair et les codes de la Torah


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Enfin il se passe quelque chose en Israël! Barak,l'éclair est élu Président du Parti Avoda. A ce stade nous n’avons qu’une certitude. Amir Perets ne sera plus Ministre de la Défense. Un grand soulagement en Israël et sans doute quelques inquiétudes dans certains pays limitrophes.
 
Géopolitiquebiblique se doit d’apporte un regard neuf à cet événement. Il sera abordé sous l’éclairage des codes de la  Torah. 

En 1997 Michael Drosnin, journaliste américain, publie en France  "La Bible: le code secret". Le livre, comme il est spécifié sur la couverture, affirme que  tout est prévu dans la Bible depuis l’origine ses temps : le passé, le présent et le futur. Il repose sur des calculs effectués par le Professeur Rips, mathématicien et informaticien israélien émérite, qui est arrivé à la conclusion que tout est écrit dans la Torah. Pour ma part, je n’en sais rien ; mes connaissances mathématiques étant des plus élémentaires. Il n’empêche qu’à la page 87 figure un code dont je vous propose un extrait. En le regardant attentivement, j’ai découvert des choses qui n’ont pas frappé Drosnin parce qu’il  était obsédé à l’époque, et à juste titre, par l’assassinat de Rabbin et craignait qu’il n’arrivât la même chose à Bibi Natanyahou, alors Premier ministre.
 
Or le passage nous révèle - en rouge - que BARAK l'éclair ( Beth, Rech, Kouf),  en inversant l’ordre des lettres, soit KRAV (Kouf, Rech, Beth) = "bataille" ,se détache, comme à l’affût, tout près  de "Natanyahou, Premier ministre", et ce, à deux reprises, sous la forme d’un triangle équilatéral. Or Barak a déjà été Premier ministre et le sera peut être encore.
 
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                                     KRaV = bataille

Ce qui est encore plus étonnant c’est que Barak/Krav figure une nouvelle fois (à gauche), précédent le mot « Ami » qui n’est autre que le prénom de Ayalon, qui fut son rival dans la conquête du parti Avoda ,qui fut remportée après une rude bataille par Barak.
 
 "Ami" est un prénom fort répandu en Israël, mais il signifie aussi "mon peuple"
"Krav" signifie "bataille" mais aussi "proximité". 

Espérons qu'Ehoud Barak n’aura pas à livrer trop de batailles mais saura s’occuper aussi de son peuple, dont il est proche, si l’on en croit les codes de la Torah.
 

 
     
 
        



               

     


      





      

Publié dans Les Israéliens

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J
Le Rav Weismandel est le premier, avant la deuxième guerre mondiale, qui eut l’idée de rechercher dans le texte de la Tora des mots encodés par des intervalles réguliers entre les lettres, phénomène qui sera appelé et pour simplifier, de leur nom hébreu dilouguim, ou encore de leur appellation scientifique ELS (en anglais Equidistant Letter Sequence, suite de lettres équidistantes).<br /> <br /> Dommage que vous ayez pris comme référence ce Drosnin qui s'est accaparé les calculs du Pr Rips et de Doron Witztum qui eux, ont démontré mathématiquement que la Tora était d'origine divine, parce qu'elle n'aurait pu être écrite que par quelqu'un qui connaissait l'avenir, qui était omniscient ! <br /> Drosnin a fait d'énormes erreur de traduction des textes bibliques. <br /> Si on prend son exemple sur l'assasinat de Rabin (z"l), il a très mal traduit le texte. <br /> Yits’haq Rabin figure en une ligne verticale, traversée horizontalement par les mots rotséa’h acher yirtsa’h, traduits par Drosnin comme l’assassin assassinera. Ceci est une déformation malhonnête du verset, un contresens total. C’est Drosnin qui assassine la Bible ! <br /> Le verset originel où ces trois mots apparaissent (Devarim/Deutéronome 4,42) :<br /> <br /> 41. C’est alors que Moïse désigna trois villes en deçà du Jourdain, à l’Orient,<br /> <br /> 42. pour servir de refuge au meurtrier qui ferait mourir son prochain sans préméditation et sans avoir été précédemment son ennemi, afin qu’en se réfugiant dans une de ces villes, il pût sauver sa vie.<br /> <br /> y a une nuance de taille entre un meurtrier par accident et un assassin qui assassine de sang-froid et avec préméditation. C’est justement pour cela qu’étaient prévues ces "villes de refuge", afin que celui qui avait fait mourir son prochain par accident, sans avoir été précédemment son ennemi, puisse échapper à la vendetta de la famille de la victime, tandis que l’assassin qui assassine intentionnellement était jugé pour homicide volontaire par le Sanhédrin. <br /> <br /> Les pataquès de ce genre abondent dans le livre de Drosnin. Etant donné que, pour la plupart des lecteurs non avertis, l’hébreu c’est du grec, il n’est pas étonnant qu’on y perde son latin. Un lecteur non-hébraïsant n’y verra que du feu.<br /> Il y a beaucoup d'autres exemples, mais bon, point est l'objet de votre sujet. C'était juste un point que je voulais éclaircir aussi, il ne faut pas prendre pour argent comptant ce qu'a écrit Drosnin.
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