Des amis comme Sarkozy, on les laisse à nos ennemis
Etant à l'Etranger, je n'ai pas trop suivi la visite de Sarkozy en Israël et en "Palestine". Le peu que j'ai glané de ci, de là, m'a suffit pour considérer qu'il n'y avait pas trop de quoi s'en réjouir , malgré l'enthousiasme délirant d'un grand nombre...