Ahmadinejad, assassin ou assassiné, décodé dans la Torah

Publié le par Arié

Ce qui est sympa avec Ahmadinejad (c’est une façon de parler) c’est que son nom ne figure qu’une seule fois dans l’immensité de la Bible (pour les hébraïsants, je précise que par Bible, j’entends le Tanakh, en hébreu, qui va de Berechith à Divrei Hayamim).

Je m’étais déjà livré à une recherche dans un précedent article qui m’avait laissé sur ma faim, et sur la votre. Devant la menace que représente ce petit homme, et suite à ses récentes déclarations à l’ONU - je ne comprends toujours pas d’ailleurs comment cette noble assemblée, que de Gaulle qualifiait de "machin", s’obstine à lui laisser le micro – je me suis remis au travail.

Son nom se trouve entre Ezekiel 17:3 et Daniel 10:3, avec un saut de lettres de 43732.

Précision liminaire : La Torah est si bien codée que je ne peux trouver qu’une infime partie de ce qu’elle cache. Si vous cherchez à décoder cette matrice, il est certain que vous trouverez d’autres pistes, et ce, à l’infini.

Cette fois, je me suis focalisé sur son nom, et les mots qui apparaissent imbriqués dans Ahmadinejad, ou très proches. J’ai essayé de valider une hypothèse qui me trotte dans la tête depuis un moment: c’est que son peuple, qu’il affame chaque jour d’avantage, en aura tellement marre du bonhomme, qu’il finira par s’en débarrasser, d’une façon ou d’une autre.

J’ai trouvé les mots : "Amo, Garésh, Marad, Bara’h, Ratsa’h", qui signifient respectivement "son peuple, expulse, se révolte, s’enfuit, tue". Sympathique ! Mais le problème est que l’on peut lire ces mots de façon bien différente. Ainsi le mot "Ratsa’h" est intégré dans un mot plus long Yrtsa’h qui peut signifier aussi bien "il tuera" que "il sera tué", selon la vocalisation. Donc : qui tue qui ?

Le mot Méréd-Révolte, peut aussi s’écrire à l’envers ; cela donne RDM qui est la racine d’"endormi". Le peuple iranien finira t-il par se réveiller pour se révolter ?

On trouve de part et d’autre de  la lettre Zaïn d’Ahmadinejad, soit le J, en français, le mot Nézék, soit "dégat" ou catastrophe dans le langage courant, ce qui ne m’étonne qu’à moitié car ce mec est effectivement une plaie, pour le peuple iranien et pour le reste de l’humanité. Pour ce qui est de plaie, à partir du "d" de son nom , figure le mot Dabér ou Davar, soit "parole, parle ou chose", mais si on se reporte aux Dix plaies infligées par Moïse en Egypte, Dévér, qui s’inscrit de la même façon, est une forme de peste qui tue les animaux des égyptiens, la cinquième dans l’ordre desDix plaies. A signaler que cette peste ne s’attaque pas aux animaux qui appartiennent aux Hébreux.

Le mot Bara’h que nous avons traduit plus haut par s’enfuit, signifie, si l’on inverse l’ordre des lettres Harav ou hérév, soit "destruction totale" ou "épée".  Ahma serait donc une peste à lui tout seul mais aussi un total destructeur.

On pourrait continuer comme cela à l’infini. Je ne prétends pas que mon hypothèse de départ soit confirmée par cette analyse rapide, mais elle n’est pas infirmée non plus.

Les iraniens voient leur niveau de vie baisser tous les jours : ils n’ont plus d’essence à mettre dans leur réservoir, alors que l’Iran a exporté pour plus de 80 milliards de dollars de pétrole et de gaz. Le chômage en Iran dépasse 30%, idem pour l’inflation. Ils sont en manque d’eau, et l’électricité marche quand elle veut. Qu’attendent-ils pour se débarrasser de cet énergumène qui consacre le budget du pays à fabriquer des bombinettes, tout en affamant 70 millions d’individus ?


Pour terminer sur une note plus optimiste, j’ai cherché à savoir si le Mashia’h pourrait au moins nous débarrasser de cette plaie ? Je vous laisse découvrir cette matrice plus large. On dirait que Mashia’h est à l’affut, n’attendant que la bonne occasion pour de manifester.

 


Publié dans Code de la Bible

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